Du 19 septembre 2019 au 9 novembre 2019
Dans la peinture de Serge Fauchier, les lignes et les couleurs sont libres et l’unité géométrique de la surface du tableau n’est acquise que par un équilibre dynamique. Les formes flottent dans l’espace et se prolongent hors du champ du cadre. Monsieur de la Palisse dirait » Il faut commencer par le commencement « . D’abord donc commencer mais ou fini le commencement » N’ayant aucune limite d’aucune sorte a peinture de Serge Fauchier entretient une relation biunivoque du Tout et des parties. Elle nous invite à méditer les Pensées de Pascal à propos de l’univers . » Une sphère infinie dont le centre est partout la circonférence nulle part ». Cette infinité nous n’en n’avons qu’une idée incertaine, seulement une expérience du commencement.
Jacques Rivet